L’école s’est vidée et les enfants vont y revenir pour y passer un mois de juillet dans une toute autre ambiance : la Ruche reprend du service.
Rien à voir cependant avec ce petit essaim d’abeilles posé sur le trottoir depuis au moins mardi.
Les orages et pluies de cette nuit n’y ont rien fait… elles ont juste migré sur le bord du trottoir dans le caniveau.
Gare aux petits pieds qui auraient l’imprudence de passer par là !!!!
Tiens, pour les internautes, une petite blague à deux francs (parce que ça vaut pas un euro….)
Comment communiquent les abeilles entre elles ?
Réponse : » Par e-miel »
Heu, pardon ! et merci à ceux qui ont souri !!!!
Mais en attendant empruntez la rue de l’Égalité avec prudence, à proximité des panneaux de direction (stade, cimetière, A20…), ces petites bêtes perdues sont agglutinées sur la bordure du trottoir…
Les 5 et 6 juin 2010, c’est au circuit des Tourneix à Saint-Maur qu’il faut être, pour la 8e édition du Rallycross de Châteauroux Saint-Maur. Épreuve comptant pour le championnat et la coupe de France de Rallycross.
Venez encourager les pilotes de l’Écurie Terre du Berry qui vont participer aux différentes courses comme par exemple Davy Jeanney en D1 et Pascal Guillon en D1a pour ne citer qu’eux. On leur souhaite bonne chance !
A l’initiative de Josette GAUZENTES et sa commission culturelle, une exposition fort intéressante a lieu en ce moment salle du conseil municipal.
M. RICHARD prête son image et ses cartes postales
Il est proposé de découvrir, ou revoir, diverses photos et cartes postales du Saint-Maur d’hier (et même avant-hier !) ou d’aujourd’hui. Toutes les cartes postales exposées ayant été gracieusement mises à disposition par M. RICHARD (ce monsieur nous fit visiter sa bambouseraie en 2009.)
Il a bien changé notre bourg, même si l’on retrouve toujours quelques bâtiments. On se pressait autour des panneaux pour commenter les images. Et chacun de retrouver là, la maison de son enfance, la maison de la mère … ou du père Untel. Parfois, les souvenirs s’embrouillent ou font défaut, et il en est toujours un pour rappeler le détail manquant.
Ci-dessous, l’entrée de Saint-Maur, par la rue des Ponts. On y voit l’Orme majestueux qui ornait la place de l’Église. Quand fut-il abattu ? Dans les années 60… quand malade (comme tous les ormes) il fallu se résoudre à le supprimer du paysage. Ce qui ne fut pas sans difficultés.
Deux Jean (pas des gens, Jean le prénom) discutent et se remémorent le temps d’avant !
« Et ben, tu voies, ici, en sortant de la messe, on allait cogner aux volets chez la mère … et on s’enfuyait en courant… »
et l’autre Jean de répondre :
« Ah oui, je le faisais aussi, mais chez Mme xx, et un jour, j’ai posé mon sac avant de frapper… et j’ai oublié de le reprendre avant ma fuite. Mon père a du venir le chercher !!! »
La place de l'Église et l'usine ROUSSEAU
Je suis heureuse de vous recevoir si nombreux devant cette modeste exposition et regrette le peu de documents existants* même si M. RICHARD a donné un grand nombre de pièces et il en possède encore une grande quantité.
Pourquoi cette cette exposition ? Eh bien, on ne pousse pas sans ses racines, et il n’y a pas de modernité sans le passé. Je suis ravie d’avoir eu la possibilité d’avoir ses images. Je demande à toutes les personnes possédant des photos de bien vouloir nous les prêter pour augmenter notre exposition . Je souhaite faire, à la demande de M. le Maire, une « mémoire vivante » par des interviews afin de recueillir des anecdotes et raconter la commune.
Les nouveaux arrivants vont pouvoir constater ce que l’on a fait ces dernières années, que l’on a respecté tout le bâti et le vécu de la commune, qu’on a fait entrer la nature et qu’on a pas dénaturé notre commune. Josette GAUZENTES
*(Il y a peu de photos et celles qui sont proposées manquent souvent d’identification.)
Ne manquez pas cette exposition « UN SIÈCLE EN IMAGES » salle du conseil municipal aux heures d’ouverture de la Mairie. Il y a bien d’autres cartes postales remarquables !!!
Ton pays te retient depuis 34 jours, Mounaïm on pense à toi.
A l’initiative de Josette GAUZENTES et la commission de la promotion culturelle, le château des Planches abrite en ce moment une magnifique exposition : LA MAGIE DES AUTOMATES. Deux facteurs d’automates, Martine MORAND et Jean-Jacques ACHACHE, nous invitent à découvrir les œuvres que leurs talents conjugués ont permis de créer.
François JOLIVET a dit : c’est parce que l’art est le plus court chemin d’un individu à un autre que la commune de Saint-Maur a souhaité entrer dans le monde des amis des Arts.
En entrant dans la grande salle on est accueilli par une magnifique « dame » brune qui semble arrivée tout droit du carnaval de Venise. Cette machine animée nous salue et nous invite au voyage.
Ensuite à chaque détour du labyrinthe chaque scènette représentée nous réserve une surprise.
Un premier groupe à figure de chats magnifiquement revêtus de parures étincelantes, côtoie des personnages à visage humain.
Plus loin, on voit même un gisant dont la poitrine qui se soulève à rythme régulier laisse douter de la vie réelle du personnage.
C’est une visite qui peut se faire très vite, mais il faut s’attarder sur le détail, le choix des mises en scène, les costumes, les décors. C’est du rêve à portée de main qui nous est proposé là. D’ailleurs les enfants souvent en restent bouche bée. Interloqués de voir un chat si joliment vêtu ou encore une belle princesse saluer d’un gracieux mouvement de la main.
Voici quelques photos, mais il faut absolument voir sur place, car le propre d’un automate c’est d’être …animé… et pour cela une seule adresse jusqu’au 4 octobre à Saint-Maur : le château des Planches.
Il se trouve au passage à niveau de Bel-Air… et comme pour compenser sa solitude c’est une large tête qui orne la tige qui le soutient.
Tête basse, il attend le passe hypothétique d'un trainPauvre petit esseulé le long de sa voie ferrée
Mais quelle tristesse ! même pas un sourire qui vient illuminer sa face toute jaune-soleil. Seuls, certainement quelques oiseaux viennent lui rendre visite car ce ne sont pas les trains qui passent en nombre sur cette voie ferrée.
Enfin, voici la dernière œuvre qui a été réalisée lors de ce symposium.
Difficile pour Nando Alvarez, espagnol, de nous « raconter » lui-même comment il a vécu cette semaine et le travail qu’il a voulu laisser sur cette pierre.
Avec l’aide de Germano Frias, nous apprenons pourtant que lorsqu’il a choisi cette pierre son projet était d’y donner un air de mouvement. Il a appelé sa réalisation : le VENT.
François JOLIVET avait vu une plume, là où un autre avait vu des vagues ou encore des nuages…
Un impression de légèreté dans cette masse de pierre, ou encore une fois, les courbes et la douceur l’emportent sur la dureté de la matière.