Enfin, voici la dernière œuvre qui a été réalisée lors de ce symposium.
Difficile pour Nando Alvarez, espagnol, de nous « raconter » lui-même comment il a vécu cette semaine et le travail qu’il a voulu laisser sur cette pierre.
Avec l’aide de Germano Frias, nous apprenons pourtant que lorsqu’il a choisi cette pierre son projet était d’y donner un air de mouvement. Il a appelé sa réalisation : le VENT.
François JOLIVET avait vu une plume, là où un autre avait vu des vagues ou encore des nuages…
Un impression de légèreté dans cette masse de pierre, ou encore une fois, les courbes et la douceur l’emportent sur la dureté de la matière.