31 octobre… je les attendais…ils ne m’ont pas déçue ! Les dernières lueurs s’estompaient doucement et de curieux ballets s’agitaient dans la rue. De petits ombres furtives rasaient les murs mais les fous rires qui les accompagnaient n’engendraient aucune crainte.
Au moins je suis parée, ils peuvent venir !
Deux jolies demoiselles plus tard…